■ nom : Dawson ■ prénom(s) : Samuel Kellan ■ âge : 24 ans ■ date et lieu de naissance : 14/07/1987 à New-York ■ origines : Américaine ■ études/métier : Boxeur professionnel ■ traits de caractère : Imbu de lui-même, confiant, fonceur, téméraire, joueur, charmeur, un peu arrogant... mais surtout têtu, il est aussi macho et c'est un homme à femme, ça c'est certain. ■ saison : Un peu été, un peu hiver, à vous de voir ■ avatar et négociabilité : Négociable, mais qui reste un peu dans le même genre, enfin, il est bien Chris, non éè ?

♦ Il a grandit à New-York mais à déménagé à Lakewood à 15 ans.
♦ Il a deux soeur, l'une avec qui il s'entend plus ou moins, l'autre avec qui il est surprotecteur.
♦ Son père est mort quand il avait 16 ans, ça l'a beaucoup affecté parce qu'ils étaient très proche.
♦ Il adore le sport, mais sa passion, c'est la boxe depuis qu'il est jeune.
♦ Il était très populaire au lycée, en particulier avec les filles.
♦ Il ne parle pratiquement jamais de lui et accorde difficilement sa confiance aux gens.

Voilà c'est tout ce que je veux pour lui le reste, libre à vous de laisser aller votre imagination ~

« Alors quoi, t'es pas avec ta petite bande habituelle ? Tu sais celle principalement constituée de garce ? » Il m'avait regardé, énervé. Il était énervé après moi. Pff... Je ne lui ai jamais parlé, lui non plus. On s'est tout simplement croisée dans les couloirs du lycée quelque fois. Je suis celle qui est solitaire et qui fait un peu peur, parce que... bah je frappe tout ce qui m'énerve trop. Et lui, le mec populaire qui a couché avec toute les garces de l'école, donc probablement toute l'équipe de cheerleader... Bref, nous sommes différent et je ne me tiens pas avec les garces qu'il fréquente. Sauf que je connaissais se regard, celui qu'il m'adressait, à l'instant... puisque je le faisais moi aussi quand je me sentais seule, quand quelque chose n'allait pas et que je voulais qu'on me laisse tranquille. Enfin. Faisait semblant de le vouloir... « D'accord, parce que maintenant on se connait ? Dégage, tu veux. » Je levai les yeux au ciel. Si je voulais ? Nah... J'étais froide, je n'aimais pas vraiment les gens en général... mais je savais que trop bien ce qu'il ressentait pour le laisser comme ça. « Nah. Je veux pas. » Il leva les yeux au ciel et ça me fit sourire. Enfin, un petit sourire en coin, tout simplement. Il voulait visiblement que je m'en aille, mais il n'allait pas se débarrasser de moi aussi tôt... « Et pourquoi ? » Je savais ce que c'était que de se sentir seule et il avait l'air de se sentir comme ça, en ce moment. Non... je n'ai pas pitié. Je comprends tout simplement. « Parce que je sais ce que c'est que de se sentir seule même s'il y a du monde autour... » Il me regarda, en haussant un sourcil et en laissant échapper un rire semi-dédaigneux. « Remballe tes répliques de films à deux balles, je n'en ai pas de besoin... » Ouais... des répliques de films à deux balles, il avait raison. Mais je levai les yeux au ciel en soupirant, avant d'aller m'asseoir à côté de lui, sans son consentement parce qu'un peu plus et il détalait comme un lapin... Il ne voulait pas de moi ici, hm ? « Des répliques de films à deux balles, mais des répliques de films à deux balles vraies. » Il ne prit même pas la peine de me regarder, non, il détourna le regard, en fait. « Et qu'est-ce qui te fais dire ça, Miss génie ? » Un autre sourire en coin se dessina sur mon visage alors que je lui répondais. « Parce que tu ne m'as pas dit que j'étais mignonne quand je suis arrivé. Et je suis plutôt pas mal... » Il rit, puis me relooka. « Ouais t'es pas mal, vraiment pas mal... » Il avait rit, c'était un début et ça faisait plaisir à entendre, je crois. « Ouaip, pas mal et pas pour toi... alors dit... qu'est-ce qu'il y a ? » Il ne reprit même pas son sérieux, comme je m'y attendais. Non il resta sur un ton nonchalant, décontracté. « Je n'ai pas besoin de parler, je n'en ai jamais de besoin. » Je haussai un sourcil, très très incertaine. Oui, je disais ça moi aussi. Voyant mon air incrédule, il reprit un peu son sérieux et me dit que ça ne me regardait pas. Avant de me dire que son père était mort, l'an passé, à cette date si. Je repris alors aussi mon sérieux et on a parlé, pendant un petit bout de temps. Je lui ai parlé de moi et il m'a parlé de lui. Je ne parle jamais de moi. Il ne parle jamais de lui. Mais là, on a parlé.



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